Deux murs d’escalade installés pour les élèves au complexe sportif Juge

FOURMIES

Une nouvelle structure sportive a été édifiée dans une salle du complexe sportif Jean-Juge de Fourmies.

Deux murs d’escalade ont été installés et mis à la disposition de tous les élèves de la commune. « Nous avons répondu à une demande toujours plus pressante des enseignants de collèges et lycées, a souligné le maire, Alain Berteaux, lors de l’inauguration. Cette discipline est maintenant une option sportive au baccalauréat. Les professeurs d’éducation physique et sportive ont reçu une formation pour encadrer les jeunes. » Il ne manquait plus que le mur propice et celui-ci a rapidement été investi par les grimpeurs en herbe.

« Ce matériel est composé de plaques de bois poudré recouvertes d’une matière minérale, a confié Michel Tinot, responsable du service des sports. Il y a un mur de 7 mètres de hauteur qui comporte quatre voies de difficultés différentes comme les pistes de ski : verte, rose, bleu et rouge ».

Et d’ajouter : « L’autre est tout en longueur sur une hauteur de 2,80 m et permet d’effectuer des déplacements latéraux. Il est dédié aux plus jeunes car il ne nécessite pas de corde ni de casque de sécurité. Les tapis de sol les reçoivent en cas de chute. » Cette installation représente un coût total de 25 000 E. Pour l’aider au financement de cet équipement, la municipalité a reçu une subvention de 9 000 E de la part du conseil général du Nord.

 

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Le « Téléphone Sonne » sur les rythmes scolaires avec Serge Chabrol

France Inter dans son émission du « Téléphone Sonne » d’hier traitait d’un sujet en vogue: « Les rythmes scolaires ».

Serge Chabrol, Secrétaire Général du SNEP-FSU, est l’un des invités de cette émission.

A la suite de l’expérimentation de la formule « Cours le matin, sport l’après-midi  » au Lycée Jean Vilar de Meaux : les journées sont-elles trop chargées et les vacances trop longues ? Comment réformer la journée, la semaine, le mois et l’année scolaire ?…

Nous vous renvoyons au lien suivant:  Téléphone Sonne / Rythmes Scolaires

 

Natation à l’école. Les enseignants de Cornouaille inquiets !

Louis Guirriec, professeur d’éducation physique au collège Laennec de Pont-l’Abbé, Gervais Frère, professeur à Max-Jacob (Quimper) et Jacques Robert du collège de Locquéran à Plouhinec ont voulu en cette fin d’année tirer la sonnette d’alarme.

Ils s’inquiètent du manque de moyens pour un apprentissage efficace de la natation.  La réglementation de l’Éducation nationale prévoit en effet un maître-nageur par bassin. Or, la piscine ne mettait à disposition qu’un maître-nageur. La formation spéciale des professeurs d’éducation physique pour la surveillance des bassins, n’était plus jugée suffisante.

Impossible donc d’utiliser deux bassins pour faire des groupes de niveau afin que chacun progresse selon ses besoins. «Pour parer à l’urgence et aux risques qu’encourent chaque année trop de jeunes, les professeurs ont logiquement accueilli les enfants encore en grande difficulté et laissé les autres sans éducation physique», souligne Jacques Robert. Le collège Max-Jacob n’est pas le seul confronté au problème. «Il manque, pour l’instant, 500heures de surveillance pour rétablir la situation pour l’ensemble des collèges quimpérois», ajoute le professeur.

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La natation avance « à petits coups de brasse »

Suite à la manifestation des professeurs d’EPS et des maîtres-nageurs qui réclament au CG le financement de la natation scolaire pour les élèves, des réunions ont eu lieu pour tenter de trouver des solutions.
La manifestation des professeurs d’EPS de mercredi 10 novembre a déjà en partie porté ses fruits. Profitant d’un conseil réunissant le vice-recteur, le président du conseil général et le sous-préfet délégué à la cohésion sociale, enseignants et maîtres-nageurs avaient bruyamment réclamé à être reçus par toutes les personnes concernées par le dossier de la natation scolaire, afin de faire avancer les choses.

Une réunion s’est donc tenue dès le vendredi suivant avec MM. Perrin, Douchina et Kromwell. « Ils avaient tous réellement réfléchi au problème, nous en avons été agréablement surpris », concède Jocelyne Abry, secrétaire adjointe du Syndicat national des professeurs d’éducation physique et sportive (Snep). « Ils ont tous été très à l’écoute des maîtres-nageurs et ont annoncé que la piscine de Koropa pourra accueillir des élèves dès la rentrée de janvier, car les factures impayées ont été réglées. » Les classes de sixième de quatre collèges pourront donc entamer la natation au deuxième trimestre. 4 sur 17 ça n’est pas énorme, mais c’est un début.

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EPSiliades: plus de 1500 profs pendant trois jours, c’est gagné !

C’est toujours une agréable surprise de voir qu’un événement que l’on pense, que l’on construit a de l’écho dans la presse.

Merci donc au Café Pédagogique d’avoir suivi les débats avec attention ainsi que d’avoir mis en place un blog spécial EPSiliades que, chers lecteurs, nous vous laissons consulter
Réunir 1500 enseignants durant trois jours, quel événement ! C’est ce qu’a réussi le Snep, le syndicat FSU des profs d’EPS, avec les Epsiliades, du 12 au 14 novembre, à Paris.

« Tout simplement, je suis un peu plus fière de mon métier » entame une enseignante Montpelliéraine. « Nous sommes des militants du quotidien, devant nos classes. En tant que professeur d’EPS, nous avons toujours à prouver, aux yeux de nos collègues comme aux yeux de l’opinion, que nous avons notre place dans la communauté éducative ». Et trois jours comme ça, ça ragaillardit et ça met du carburant dans le moteur. Son jeune collègue poursuit : « Nous sommes le nez dans le guidon, ces Epsiliades nous permettent de lever un peu les yeux. ». Et puis il y a le plaisir d’avoir croisé Villepreux (entraineur de rugby), Onesta (de hand) ou Barras, le récent vainqueur du championnat d’Europe de décathlon, de ceux qui aident à se battre contre le sport-business et le culte des héros.


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Les profs de gym sont en colère !

Le département de la Dordogne souffre d’un déficit chronique en professeurs d’éducation physique et sportive (EPS). Tel est le constat dressé hier matin lors de l’assemblée départementale de l’Union nationale du sport scolaire (UNSS).

Selon le syndicat, il faudrait 36 postes de titulaires en plus pour assurer correctement la prochaine rentrée scolaire. « En Dordogne, nous sommes la cinquième roue du carrosse et, au niveau national, le mouton noir de l’EPS, assure Denis Vergé, secrétaire départemental du SNEP-FSU. Tout se passe comme si le gouvernement pensait qu’il pouvait continuer de dégrader impunément notre service public, parce qu’il pense que ça ne fera pas de vagues dans notre département. »

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