Lunel : Les doléances du personnel de Feuillade

(…) Les enseignants « très déçus »

Premiers à intervenir, les enseignants de physique et le personnel de laboratoire ont été « très déçus de retrouver dans le bâtiment 3 des locaux dans le même état, si ce n’est plus sales qu’auparavant. Avec des prises électriques déficientes. Des vitres qui ne ferment pas ».

Les professeurs d’EPS, relayés par les élèves, se sont quant à eux interrogés sur la mise en place d’une entrée unique. « Alors que les installations sportives sont complètement à l’opposé. Les élèves vont devoir faire tout le tour. Et perdront énormément de temps, à l’aller comme au retour. D’autant que pour faire le tour, il n’y a pas de trottoir. »…

 

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Natation à l’école. Les enseignants de Cornouaille inquiets !

Louis Guirriec, professeur d’éducation physique au collège Laennec de Pont-l’Abbé, Gervais Frère, professeur à Max-Jacob (Quimper) et Jacques Robert du collège de Locquéran à Plouhinec ont voulu en cette fin d’année tirer la sonnette d’alarme.

Ils s’inquiètent du manque de moyens pour un apprentissage efficace de la natation.  La réglementation de l’Éducation nationale prévoit en effet un maître-nageur par bassin. Or, la piscine ne mettait à disposition qu’un maître-nageur. La formation spéciale des professeurs d’éducation physique pour la surveillance des bassins, n’était plus jugée suffisante.

Impossible donc d’utiliser deux bassins pour faire des groupes de niveau afin que chacun progresse selon ses besoins. «Pour parer à l’urgence et aux risques qu’encourent chaque année trop de jeunes, les professeurs ont logiquement accueilli les enfants encore en grande difficulté et laissé les autres sans éducation physique», souligne Jacques Robert. Le collège Max-Jacob n’est pas le seul confronté au problème. «Il manque, pour l’instant, 500heures de surveillance pour rétablir la situation pour l’ensemble des collèges quimpérois», ajoute le professeur.

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L’ÉCOLE EST FINIE !

Cette semaine, Siné Hebdo consacre six pages à l’école. Siné Hebdo prend le contre-pied des autres.

Il ne s’agit pas seulement de s’alarmer des  actes de violence  commis récemment dans des collèges et des lycées mais de s’interroger : pourquoi de telles affaires surgissent-elles toujours à quelques semaines des élections ? Hasard, sans doute. Nous avons enquêté sur les baisses d’effectifs et de moyens, le flicage croissant des élèves, la répression des profs désobéisseurs, les réponses apportées par les politiques aux problèmes de sécurité.

Nous avons interrogé une sociologue, un universitaire spécialiste de l’éducation, des pions, des élèves, des profs en poste dans les lycées de Vitry ou de Thiais.

Leur verdict : la violence existe, mais elle n’est en aucun cas le problème numéro un de l’éducation. Ce qui les inquiète vraiment, c’est la façon dont ce gouvernement dépèce l’école publique.

Si vous voulez en savoir plus: Siné Hebdo Numéro 77. En kiosque le mercredi 24 février 2010.

EPS : risques du métier

guadeloupe
 
 
Les lundi 7 et mardi 8 décembre, le SNEP-FSU Guadeloupe, proposait aux professeurs d’éducation physique et sportive un stage de formation syndicale, sur le thème «Les enseignants d’EPS face aux risques du métier», au sein du lycée hôtelier du Gosier.
Ce module a pour but d’approfondir des questions survolées en formation initiale.
Du point de vue de Guy-Luc Belrose, secrétaire académique du SNEP, dans ce métier de «pluri-technicien», la formation continue est essentielle.
Un professeur d’EPS peut être tenu responsable administrativement, mais aussi civilement ou pénalement, si un incident survenait pendant son cours…

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